Sophie Pondjiclis
Mezzo-soprano
Profile
Representation: Exclusive World Wide
Recent and upcoming engagements include the title role Carmen (Bastia’s Festival), Théodolinde in Sauguet’s La Chartreuse de Parme (Marseille), Marcellina in Le Nozze di Figaro (Bordeaux), Berta in Il Barbiere di Siviglia and Cléone in Fauré’s Pénélope (Théâtre des Champs-Elysées Paris), Emilia in Otello (Chorégies d’Orange), Siegrune in Die Walküre (Rennes), Tisbé in La Cenerentola (Strasbourg), Mere,Tasse Chinoise,libellule in L'Enfant et les sortileges (Stockholm, Munich, Cologne) , Madame de Croissy dans Dialogues des carmélites, puis Saint-Etienne Principessa di Bouillon dans Adrienne Lecouvreur, Amadigi (role titre) de Haendel à Massy, Compiègne, Athénée Paris, Filipievna dans Eugene Oneguine à Toulon, Amadigi (rôle-titre), La Reine Gertrude dans Hamlet (Hong-Kong). …
Artist's web
www.sophie-pondjiclis.com/fr/
Biography
Born in Marseille, the French mezzo soprano, Sophie Pondjiclis, studied singing and acting at the Conservatoire National Supérieur and Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris.
She made her debut in Nancy and Toulon with Ruggiero in Händel’s Alcina, Nicklausse in Offenbach’s Les contes d'Hoffmann and Rosine in Il Barbiere di Siviglia. Her operatic repertoire includes La Haine in Glück’s Armide (Riccardo Muti, conductor) and Javotte in Massenet’s Manon (Gary Bertini, conductor) - both at Teatro alla Scala Milano, Olga in Eugene Onegin(Geneve), La chatte, L'écureuil, La bergere Louis XV, Le pâtre in l’Enfant et les Sortileges (Théâtre des Champs Elysées Paris, Orchestre National de France, Charles Dutoit; Teatro Comunale di Firenze, Chung, conductor; Orchestre Symphonique de Berlin, Serge Baudo, conductor), Stéphano in Roméo et Juliette and Mercedes in Carmen (Zürich), Isaura in Rossini’s Tancredi, La mere in Georges Boeuf`s Verlaine Paul and La servante in Menotti’s Maria Golovin (all in Marseille), Marcellina in Le Nozze di Figaro (Théâtre des Champs-Elysées Paris with René Jacobs and Jean Louis Martinoty, Festival de Montreux, Concertgebouw Amsterdam, Palau de la Musica de Valencia, London Barbican Center,Nice and Lausanne), 2e Dame in Die Zauberflöte (Teatro de la Maestranza Seville), Dorabella in Cosi fan tutte, Cherubino in Le nozze di Figaro, Bianca in Britten’s The Rape of Lucretia (all at Opera de Tours), Agamede in Michele Reverdy’s Médée (Opéra de Lyon, world premiere), Maddalena in Rigoletto (Rouen), Dulcinée in Don Quichotte (Trieste), Sélysette in Dukas’Ariane et Barbe-bleue (Torino and Nancy), Lucia in Rossini’s La Gazza Ladra (Opéra de Massy), the title role in Carmen (Nantes, Skopje, and on tour in Japan, Yutaka Sado, conductor), and Annina in Der Rosenkavalier (Marseille). Sophie Pondjiclis also appeared in Manuel de Falla’s Le Tricorne (Opera de Paris and Geneve) and L’Amor Brujo (Théâtre des Champs Elysées Paris), Debussy’s Le Martyre de Saint-Sébastien (Napoli and Hamburg, Ingo Metzmacher, conductor), Stravinsky’s Les Noces (Théâtre du Châtelet Paris, David Robertson, Ensemble Intercontemporain; Orchestre Philharmonique de Radio France, Marek Janowski; L'Accademia Italiana di Santa Cecilia de Rome), Mendelssohn`s Elijah (Théâtre des Champs Elysées Paris with Kurt Masur and Orchestre National de France), Dvorak’s Stabat Mater (Tours), Cleopatra in La Mort de Cléopâtre (Festival dei Due Mondi of Spoleto and Dublin), Havas in Germaine Tillon’s Verfügbar aux Enfers (Théâtre du Châtelet Paris), L'aubergiste in Philippe Hersant’s Le Château des Carpathes (Salle Pleyel a Paris).
Recent and upcoming engagements include the title role Carmen (Bastia’s Festival), Marthe in Faust (Toulon), Théodolinde in Henry Sauguet’s La Chartreuse de Parme (Marseille), Marcelina in Le Nozze di Figaro (Bordeaux), Berta in Il Barbiere di Siviglia and Cléone in Fauré’s Pénélope (Théâtre des Champs-Elysées Paris), Flora in La Traviata (Marseille, Rennes), Emilia in Otello (Chorégies d’Orange), Siegrune in Die Walküre (Rennes), Thisbé in La Cenerentola (Strasbourg), Mere,Tasse Chinoise,libellule in L'Enfant et les sortileges (Stockholm, Munich, Cologne), Madame de Croissy dans Dialogues des carmélites, puis Saint-Etienne Principessa di Bouillon dans Adrienne Lecouvreur, Amadigi (rôle-titre) à Paris, La Reine Gertrude dans Hamlet (Hong-Kong), Filipievna dans Eugene Oneguine (Toulouse) …
Highlights
février 2019
Amadigi - Amadigi
Athénée Théâtre Louis-Jouvet, Paris, 27/01/2019
www.classique-c-cool.com, , 28/01/2019
Sophie Pondjiclis porte haut le costume d’Amadigi qu’un remplacement opportun lui permet d’enfiler. (…) vocalement un enchantement avec ici des vocalises nettes, précises et impeccables et une longueur de souffle impressionnante. Le timbre soyeux devient solaire dans la partition de Haendel avec de magnifiques aigus dardés
hugues Rameau
Madame de - Dialogues des Carmélites
Bruxelles(Monnaie), 08/12/2017
Musique et opera, 14/12/2017
"La véritable révélation de la soirée est la mezzo française Sophie Pondjiclis.(...) un rôle à la hauteur de son immense talent. Ce qui se passe sur scène est exceptionnel car la comédienne se consume littéralement, avec des moyens vocaux qui rendent justice à l’écriture de Poulenc. Jamais l’on n’aura entendu une Prieure aussi intelligible. Fait rare et qui mérite d’être souligné, le célèbre « Oh ! Que ne puis-je arracher ce masque avec mes ongles » est chanté. La scène inoubliable de l’agonie dans un lit suspendu est l’un des temps forts de cette mise en scène, un modèle à voir absolument, en espérant que le miracle se reproduise encore et encore ! "
(Hugues Rameau-Crays)
madame de Croissy - Dialogues des Carmélites
Bruxelles(Monnaie), 08/12/2017
Forum Opera, 08/12/2017
la performance de cette jeune chanteuse transformée en vieille femme agonisante est remarquable d’intensité, de précision et de justesse, et sa mort les bras en croix constitue sans conteste le point dramatique culminant de la première partie du spectacle. (Claude Jottrand)
(Claude Jottrand)
Olyrix review's date undefined
La prieure, Madame de Croissy, incarnée par Sophie Pondjiclis, donc, est d’une remarquable qualité vocale. Cette voix appartient au temps des grandes mezzo-sopranos italiennes, aimées de Fellini. Sa diction parfaite et ses graves alimentent une dramaturgie dessinée sur mesure pour la prieure, notamment la scène du décès, qui marque définitivement celui qui la découvre (Soline Heurtebise)
https://www.olyrix.com/
Soline Heurtebise